
En
bloquant l'accès au centre ville et en tentant de diviser le cortège
l’État a fait le choix de mettre Nantes en état de siège. Les
forces policières se sont livrées à des violences inouïes : tirs
de flash ball et de grenades lacrymogènes parfois à bout portant,
jets de grenades assourdissantes, canons à eau et matraquages. Le
choix de cette stratégie révèle en réalité la peur du
gouvernement face à un mouvement déterminé à ne rien lâcher.
Plus que
jamais, jusqu’à l’abandon total du projet, le mouvement doit
rester uni et solidaire face à la répression et à la division
organisée par l'Etat et le gouvernement Ayrault.
NPA 44,
Nantes, le 23 février 2014
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